L’Être Franc ne paye plus de nos jours, c’est comme la sculpture.
Lettre franche non plus du reste.

Mes vies ,mes morts...



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Bonne année à vous Gosti de Stockh-home.

 Sans commentaire SVP.

Sylvie ,du temps de la baie vitrée cassée.

Vous ai-je dis à vous deux?
Qu’étant si fatigué ,physiquement et moralement en ce moment, ma santé se détraque.

J’entends une sorte d’acouphène ?
(Bruit sourd, d’un marteau sur une enclume …acouphène professionnel me direz vous ???)

J’entends ce bruit dans mes oreilles, en pleine nuit
ou quand les gens me parlent dans la rue…gênant, j’ai cela depuis mercredi .

J’ai aussi des pertes d’équilibre et de tension,
alors ces histoires de commentaires sur mon blog… secondaires à mes yeux,
(ou mes oreilles !)

Ce qui est sûr,
c’est que je préfère un commentaire signé(même d’un pseudo)

Ce qui est sûr,
c’est que des choses doivent être mise sur ma messagerie perso
et non en commentaire,
(il est vrai que ton cousin…)

gOSTI.
Des bises à tous les deux.

Entre hier soir et ce matin,
j’ai demandé à Joël lorand et son amie Julie, de photographier l’atelier…

Hier soir, avec Julie et Joël, côtes de beauf gros sel.
(Façon Lino, façon Gosti.)
 Les restes sur la plaque de cuisson.

Par ces temps de disette créative…trouver la création où l’on peut !

(Je dois bien avouer, c’est plus facile que dans du granit.)

Déplacement du petit musé de la mezzanine…
bien sur maintenant, c’est un peu plus à l’étroit.

Ce matin en voyant mon évier...j’étais bien décidé ,à lui redonner ,un peu de dignité !
Ce sera donc pour demain.



Ce matin de bonne heure / ce soir un peu tard.

L’espoir fait vivre, le désespoir fait dévivre ?

Échangerais, Gostinerie, dessin ou plus contre heures de bricolage !
(Amateurs comme moi, s’abstenir)

D’août
Plus un reflet au fond du puits

La clé n’ouvre plus la porte familière
Qui dissimule tant d’autres portes

Le ciel accumule sa dispersion

Au retour de l’écho
Le crieur n’est plus là.



Septembre

Que dire plus vif que l’emportement
Du feuillage qui se calme aussitôt

et le merle en alerte vaut bien
La besogne de cette bouche absente

L’heure venue tu céderas sans doute
Ton dernier temps de parole.


Octobre

Cet acharnement.
À vouloir sauver du vent des fous
La mise en page de la lézarde
Agrémentée de liserons

Dictée
Bégaiement cadencé
Continuer
Pour faire trace.

Novembre

Tout dit
Sur si peu
Lit cage
Étoffe bleue.

Trois fois dit
Mais bien pauvre
Parole que troue
Le dehors

Dedans
Quelque peur
Monnaie
Égarée retrouvée

L’usure gauche.


Décembre


Le cliché prouve que ces neigeux
Sommets n’étaient pas un mirage
Entre les deux bleus mer et ciel
Or ici la couleur n’existe
Que dans ce livre trompe l’œil
Et le roman du beau mensonge

Matin picoré de possible
Timbres d’autres climats,rappels
Rature et lit interloqué

Le blanc corbeau le cygne noir
Passent d’une rubrique éteinte
Aux coquilles grises des discours

Alain Lance
temps criblé