Visitation d’Armelle de Cimaise, journal d’art.
(Je ne l’avais pas vu sous cet angle, quand elle était venue la première fois à l’atelier pour l’interview.)

Moi : t’as grandi ou quoi?
Elle : non toujours un mètre et quelque au garrot !
Moi : parle moi de ta carrière de basketteuse.
Elle : je déteste les sports collectifs, quand j’ai le ballon, je le garde !
Moi : tu veux un café ?



Après la visitation, l’atelier paraissait bien vide !
Des bises et des rebises.

Lui : Gosti …Gosti…comme le sculpteur ?
Moi (sourire flatté)
Lui : c’est pas le gars qui découpe des grandes ferrailles
         place des Vosges ?
Elle : chéri, quand on parle d’un artiste, on  ne dit pas ferraille,
        mais plutôt  métal…
         métal  rouillé   ou simplement, il travaille de la tôle.
Lui :(se retournant vers moi, avec un clin d’œil,
       suivi d’un coup de coude)
        et tu crois qu’on l’a laissé sortir …de taule ?
Moi :(j’arrive pas à en placer une.)
Elle : regarde chez les Grandville,
        ce sont des statues de pierre qu’ils ont de cet artiste.
Lui : très juste.
Elle : remarque, dans l’entrée, je crois bien,
        qu’il y en a une avec de la ferraille dedans… 
        Pardon du métal. (Elle me sourit)
lui : t’as raison, je crois même qu’elle est peinte ?
      c’est le genre de gars qui ratisse large !
Moi :( !!!)
Lui : c’est des mecs, y savent tout faire .à leur époque,        
        on leur apprenait tout…alors qu’aujourd’hui….
Elle : sculptures, dessins, peinture, photos.
Lui : tu vas voir bientôt ton Gosti, il nous fera des claquettes !
Moi : c’est un bricoleur de l’art !
Elle (à haute voix)
      tient à propos de bricolage,
     tu as les étagères de la salle de bain à poser !
Lui : (se tournant vers moi)
       Vous croyez qu’il me les poserait votre Gosti ?
Moi : certainement de traviole
Lui : m’enfous si ça tient !
Elle : et il les signerait ?

Je me demande toujours,
pourquoi certaines personnes ne retiennent de ce blog, que les choses négatives ?
Pourquoi, mes détracteurs colportent que les mauvais cotés de ma personne ?
Pourquoi les sons de cloches sonnent faux quand ils me reviennent aux oreilles ?
Pourquoi, les ego sont plus gros chez les autres que chez moi ?
Pourquoi, on ne me pardonne pas mes écarts, mes sauts d’humeur, sot d’humeur !
Faut-il que je souffre en cachette ? (Oui certainement à ce que j’entends ici et là)
Se peut il, que je sois si différent de mon travail ?
Aurais- je un coté Gosbar ? (Faut le croire)
Souvent copier, j’aimais égalé… après tout…
restera toute une œuvre sur cette période  de ma vie.
Eh oui, ne vous en déplaise, je vous emmerde une fois de plus !
(Et je reste zen !)