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Le 29/04/2009 à 15:24:57

Tendance destructrice…

Épreuve unique pour un sculpteur,
que de travailler sur la destruction de ses bronzes afin de voir se qui peut en sortir.
Qu’est ce que tu ne veux pas voir mon petit Gosti, ou qu’est ce qui te brûle à ce point le regard ?
Regardez cet homme libre prisonnier de son art !

Demain la Belgique pour quelques jours, se voir de nouveau la semaine prochaine ?

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Le 27/04/2009 à 10:14:47

Couple Parigot.

…le sculpteur jouit en général d’un capital sympathie considérable.
Remarque, qu’un sculpteur con reste un sculpteur con…

Fathia la galeriste me dit que cette expos parigote déclenche de l’enthousiasme chez les collectionneurs, les amateurs et autres badauds.
Elle me parle souvent de mes anges gardiens,
que de vendre du Gosti n’a jamais été aussi facile en période de crise…

Et puis tu sais, il y a eu cette femme…
cette fan rencontrée par hasard samedi dernier à la galerie,
qui m’a raconté s’être déplacée spécialement de la région parisienne jusqu’à Concarneau en 2006 pour voir mon travail…
j’en suis resté baba .
elle m’a parlé de ce blog qu’elle consulte quotidiennement,
me racontant combien je pouvais lui amener du réconfort !
Désarment. (Des arts ment.)
Qu’est ce qui fait, que quand je regarde en arrière tout me parait déjà très très loin ?
Je n’en reviens toujours pas !

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Le 23/04/2009 à 15:36:01

Se souvenir…

qu’en travaillant ce granit, je me suis fait mal au dos.

Cela faisait longtemps.
(Fait chier ce métier)

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Le 22/04/2009 à 16:25:59

le blog Cimaise...égo (sti.)

Gosti présente son amicale des pierreux en compagnie de ses tôle-art » : c’est ainsi que le sculpteur présente les siens, à la fois si tendres et si rugueux. Dans la vitrine, seul à l’instar du gardien du temple, se dresse un des personnages qui peuplent son univers. Dur sous son enveloppe et touchant par son expression, le petit homme de pierre accueille les visiteurs. A l’intérieur, une trentaine de sculptures et une vingtaine de dessins attendent d’être présentées. On sent bien qu’ici Gosti est chez lui. Daniel Besseiche, fondateur de plusieurs galeries (Paris, Genève, Courchevel, Dinard, Pont-Aven et Val d’Isère), lui a donné carte blanche pour le choix des œuvres : chacune et toutes ensemble reflètent sans équivoque la personnalité de l’artiste. « Gosti fait partie intégrante de l’identité de la galerie », explique Fatiha Selam qui s’occupe plus précisément de l’établissement parisien. Gosti a disposé sur deux étages des sculptures qui, en subtile connivence, échangent d’un regard, d’un battement de cils, peut-on dire. Qu’ils soient en volume ou dessinés, ses bonshommes affichent un caractère fort et sensible. On passe d’un même élan des Grands déchirés au Totem. Ce travail qui respire l’instinct et la précision fait naître un monde d’amis qui n’échappe à personne. D’ailleurs Fatiha Selam raconte que, contrairement à son habitude, elle n’a pas lors de l’installation masqué la vitrine car elle voulait inciter les gens à entrer ; et c’est ce qu’ils ont fait. Plus tard, d’autres sont venus nombreux et dans le seul but de visiter les Pierreux. Gosti a ses fans. Cet artiste-là possède la clef des cœurs. Ses mains transforment la pierre en chair, la difficulté d’être en espoir, la rudesse de l’existence en douceur de vivre. Son œuvre reconnaissable entre toutes susurre à l’oreille de chacun la mélodie de la paix retrouvée, comme le feraient des flots apaisés après la tempête ou les oiseaux au terme de l’hiver.

Contact> Jusqu’au 9 mai à la galerie Besseiche 33, rue Guénégaud 75006 Paris.
Tél. : 01 40 46 08 08.

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Le 20/04/2009 à 10:29:26

Colmarrigolonsunpeu.