Que vienne l'automne, je m'en fous!



Me voila de nouveau,
redevenu fort!

Ce matin avant la visitation, je me suis amusé une fois de plus,
à la découpe automatique sur extincteur.
(Sorte de  découpe au plasma sans réfléchir!)



L'idée en est des plus simple, je découpe et je vois ce qui se passe.
Peut importe le résultat, alors bien sûr,
les notions esthétiques en prennent un sacré coup!



Et en plus, ça ouvre l'esprit et l'appétit!

Aujourd'hui... revoir Agathe... depuis le temps!
 (Les arts appliqués Olivier de Serre 1978!)
Y'a bien "face de bouc" mais bon, ce n'est pas pareil.



Elle -Explique moi, pourquoi tu avais marqué,
Lou Plioutch dit Gosti sur ton blouson?
Moi...???
(Mince, elle a une sacrée mémoire la Agathe me suis-je dit... depuis 1978!)



Jean Christophe Humbert et K-roll Cordier,
se sont joints à nous pour les pasta.



Nous avons trinqués tous les quatre,
 les yeux dans les yeux pour conjurer le sort...
 et même à chaque fois fois que l'on buvait un coup...
(histoire d'être sûr de le conjurer ce sort!)

Souvent après le café vers les 13heures 30,
je promène mon chien dans le quartier.
Toujours la même promenade,
 on sort de l'impasse on tourne à droite rue Charles Auray,
ensuite nous longeons la grille du collége Lavoisier
 jusqu'à la boulangerie.



à l'intersection avec la rue Méhul,
nous remontons en direction de l'atelier sur le trottoir d'en face...
(ça dépend si je me suis arrêté acheter à la boulangerie, un palmier ou pas! )




Cette après midi à mi chemin, 
j'ai entendu pleurer. Au début,
je n'y ai pas fait plus attention que ça, bruits de la ville et puis en avançant,
les pleurs étaient de plus en plus audibles.
La haie de buissons du collège, est assez haute à ce niveau là de la promenade, m'empêchant de voir d'où cela pouvait venir.
Dao lui aussi marqua le pas.
Du bout des pieds,
je vis une femme assise, habillée de noir, qui pleurait de tout son saoul.
Un prof me suis-je dit? 
Elle se tenait la tête entre les mains, son portable à terre. Les pleurs redoublaient,d'intensité, à chaud de larmes maintenant...
J'ai été ému en la voyant, j'ai été ému et déstabilisé...
nous n'avons pas été jusqu'à la boulangerie aujourd'hui.

 
Huguette Machado Rico.
Devant un bas relief des Staélens.

Les vernissages sont comme des réunions de vieux amis.
On se donne des nouvelles des uns des autres,
par ces temps d'internet, rien ne vaut la causerie autour d'un verre ou deux.



Avec Ceres Franco, le passé est toujours présent. 





Exposition, à la Halle Saint Pierre, Sylvain et
 Gyslaine Staélens.
Trop rarement sur Paris, à voir si possible!

Ma petite nuit, mon instinct
mes compagnons d'insomnie en quelque sorte me l'avaient dit.
Demain ta litho terminato!



En me rendant chez Etienne ( http://www.afleurdepierre.fr/   )ce matin,
j'ai croisé Didier dans la rue de Nantes.
J'vais chercher des citrons confits, c'est tajine ce midi, tu restes!
C'était plus une injonction, qu'une question... alors je suis resté!



Devant ma pierre je suis resté sculpteur et
j'ai "radicalisé" ma liberté de trait, si j'ose dire.
Quelques tirages après c'en était fini.



J'aime bien avoir un coup d'avance.
Petite nuit, petites valises sous les yeux
Mais heureux!



La vie sans amitié n'est pas la vraie vie.
Bon week end à toutes et tous.

Travail sur ma litho, ou ce qui paraissait simple, se complique...
Pas de B A T.
(Bon à tirer.)



C'est toujours le problème de faire les choses sérieusement,
sans se prendre au sérieux.
(On a une exigence plus pointue, je trouve!)



D'un coup d'éponge, des sentiments s'éffacent, alors on perd des détails de vie qui comptaient.



J'y retourne demain... on verra bien si ,
ces sédiments, ces sentiments de la pierre ont résistés à la nuit.

Aujourd'hui...
 Comment expliquer...
 je n'ai pas les mots qui me viennent facilement aujourd'hui...
Comment expliquer donc,
que de reprendre la sculpture sur laquelle mon fils Clément a travaillé hier,
m'a ému!
Sinon, concernant les bêtises de mon adolescence...
Il y en a une qui me revient à chaque fois et qui m'empêche de trop réprimer.
En 1973/74, je me souviens avoir scié les manches de plusieurs balais, pour en faire des nunchaku, façon Bruce Lee.
L'engueulade de ma mère suivie de celle de mon père, fut comme un véritable
coup de rouleau à pâtisserie italienne sur la tête...






Reprise aussi de cette sculpture du mois de mai 2012.
Histoire d'effacer un peu le passé pour y mettre plus de présent?

C'était bien!

 La punition est tombée hier soir...
Travaux forcés pour sa journée d'exclusion du lycée!