Il y a dans mon travail, régulièrement un point de liberté que j’aime bien atteindre. (Sorte d’endorphine du sculpteur?) Sans le chercher, il arrive souvent après le dur labeur du dégrossissage. La sculpture enfin sortie de sa gangue, peut à son tour s’exprimer et me parler. Sans m’en apercevoir, plus rien n’a d’importance. Tout ce qui a été fait avant, peut disparaitre au profit d’une autre idée… d’où le risque…
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