Bien sûr tellement c’est grand, que j’avais demandé il y a deux années de cela, à quelques copains artistes de me suivre dans cette aventure Normande...
Qu’est ce que nous avions rigolé ce weekend là, c’était plus une fête qu’une expo à vrai dire, j’étais content d’être entouré ainsi.
Ce matin en arrivant à la galerie, la veuve d’Alain Forget m’attendait… la galerie ferme, plus déserte que déserte!
Plus âme qui vive… Il restait au mur un portrait d’Alain, quelques toiles et au fond mon grand bronze, celui là même qui aurait du être vendu à plusieurs reprises… Alors bien sûr le contraste était saisissant entre mes souvenirs et ce lieu abandonné !
(Bises Alain et merci pour tout.)
Retour au bercail.
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