Le retour successif des expositions d'Aurillac, du prieuré de Préault du perche, ainsi que l'arrivée lundi de trois grandes sculptures pour Bordeaux, me forcent à faire beaucoup plus rapidement le deuil de certaines de mes anciennes sculptures... L'atelier, tu le verras, recommence à être plein comme un œuf, alors place aux jeunes si j'ose dire, comme chantait Brassens à propos de son caveau de famille... je les gardais près de moi histoire de ... de me rassurer ?
Enlever ces sculptures de l'atelier me donne le sentiment qu'une page se tourne, une de plus, un peu comme si je laissais partir pas mal de mes souvenirs.
Je me surprends à en être content! Tiens aujourd'hui, j'ai ramassé par terre un marron qui a trouvé sa place au fond de ma poche.
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