Encore une journée de tôle si j’ose dire. 









  Je sais je sais, y’a pire, mais ça c’est pour le spectateur…
Quant à moi, je suis bel et bien enfermé à perpette là-dedans!






  Je me suis une fois de plus divisé en deux aujourd’hui,
passant d’une écriture « enfantine »
à quelque chose de plus « sérieux » ?
   Ce qui m’agace chez moi quelque fois,
c’est que les choses arrivent comme ça sans prévenir.
Je change d’expression en un coup de fusain…
je voulais me détendre en dessinant
et puis ce dessin classique entre mes mains.
Je n’y peux rien au choix de l’écriture de mon travail,
tout vient du ventre…
Bref pas facile de me cataloguer, de me trouver une famille d’art…
j’avance je verrai bien !
  
 
  

En ce moment, les visitations s’enchainent…
avec de belles surprises à chaque fois !

 

Jacques reste déjeuner,
 ensuite je finis le panneau commencé hier.

 

Bref coup de fil ce matin et Jean-Luc débarque cet après midi.   

Depuis deux jours je m’acharne sur un dessin qui vient…
venait pas trop mal…
bref pas si bien que ça en fait…
J’allume mon feu en fin de matinée avec…

Je savais de toute façon, avant même d’arriver à l’atelier,
que la tête aurait le droit à une grande claque histoire de la redresser !
Ce fut fait assez rapidement du reste,
après s’en suivi une longue période de « méditation »
me demandant si j’avais bien fait ?

C’est en fin d’après-midi ,
que s’est imposée à moi la véritable idée de la journée…



(Demain avec impatience...)

Visitation des Pascaux et d'Isabelle...
(Pascal et Pascale)




La photo d'Isabelle.



La photo de PascalE.



La photo de Pascal.

ça ne devrait pas se casser la gueule,
mais je ne sais pas à quoi je pensais quand je l'ai soclée...




  Bref...
y'a comme un coté tour de Pise!

Je me suis toujours demandé,
comment au football on pouvait louper un pénalty ?
Comment par fois,
lorsque mon travail est d’une telle évidence,
où il me suffit de suivre gentiment le trait, je rate l’inratable !
Ça tient à quoi ?
Quels dieux ai-je  encore offensés,
pour que ce qui est simple devienne compliqué à souhait ?



  Sculpter je te l’ai déjà dit,
c’est comme se déclarer la guerre.
Chaque sculpture est une bataille
que je me dois de livrer contre moi « m’aime ».
Sauf que la guerre,
malgré toutes les victoires acquises dans le passé,
telles des médailles sur un uniforme,
n’est jamais gagnée… à mon grand désespoir…



  Se reposer sur ses lauriers n’est pas mon genre,
alors je cogne !
(C'était pourtant simple de suivre ce trait!)