J’ai un pote dinandier qui passe des heures et des heures sur son travail... j’en rêvais alors avec ce genre de pièce j’y suis ! Y’a pas un centimètre carré dont je ne suis pas maitre, contrairement à la pierre ou il y a beaucoup de partie brut laissées à « l’abandon », là dans la ferraille, tout est maitrisé de A à Z. Je me suis rendu compte une nouvelle fois cette après midi, que la table élévatrice sur laquelle je travaille, est comparable à celle d’un bloc chirurgical, outil de tous styles et plaies béantes ! Je me bats avec ma sculpture du mieux possible, comme un chiffonnier à vrai dire.
Je vois mieux où je veux en arriver, journée grise mais temps sec et frais, petit rayon de soleil vers les 17 heures 15, juste après avoir soudé les deux roseaux...
l’horizon s’éclairci... |