Maintenant qu’il n’est plus, quand je vais à l’usine à Zabu, Joëlle son épouse me laisse embarquer « tout ce dont tu as besoin. » J’étais tombé sur ces petites tôles entassées dans un coin de son antre. Bien rangées comme offertes à ma vue, pas d’hésitation ! Trop fines pour en faire des socles... Peut être avais-je déjà une idée derrière la tête sans même la connaitre ? En tout cas, une fois à l’atelier, ne sachant pas où les entreposer, elles se sont retrouvées sur le découpeur plasma... comme un signe! La petite série prévue courant novembre se nommera les Zabu, hommage à mon père spirituel.
Je t’embrasse Jean.
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